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AuteurRéponses
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27 mai 2025 à 16 h 02 min #196223
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésReçu hier lundi 26 mai 2025 :
EXPEDITEUR : Pascal Champenois / bbcar Paris
E-mail :
message
Bonjour à tous,
Notre flotte s'agrandit et nous en profitons pour faire des offres petit budget !!!
Pour toute demande, je vous invite à m'envoyer un petit à mail : ou directement sur ma hotline 0660073127
Bien sûr, vous allez nous demander si nous avons un site internet, voilà le lien : https://bbcarparis.com/
À très vite, pour de nouvelles aventuresPascal
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17 mai 2025 à 11 h 51 min #196199
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésMerci à l’AFAR pour ce point d’étape ….
Source : site de l’AFAR
Mise en place d’une formation française de Coordinateur/Coordinatrice d’intimité
17 mai 2025 | par AFARhttps://www.afar-fiction.com/spip.php?article3569
Extrait :
Prérequis et critères de sélection pour se présenter aux évaluations de la certificationJustifier de cinq ans d’expérience dans le secteur audiovisuel ou cinématographique
Avoir suivi la formation référent VHSS (Violences et Harcèlement Sexuel et Sexiste)Pour exercer le métier de coordinateur d’intimité en France, il faudra donc détenir soit la certification française de la CPNEF de l’audiovisuel soit la certification américaine délivrée par la SAG-AFTRA.
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Cette réponse a été modifiée le il y a 1 semaine et 3 jours par
Stéphan GUILLEMET.
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16 mai 2025 à 17 h 26 min #196198
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésSource : Ecran Total – 15/05/25
Cannes 2025 : Gaëtan Bruel salue le travail effectué par la commission d’enquête sur les VHSS
Le président du CNC, Gaëtan Bruel, a annoncé que les formations contre les VHSS serait obligatoires pour les équipes de tournage de l’audiovisuel en juin et que l’institution réfléchissait à l’évolution du bonus parité.
Aurore BergéGaëtan Bruel
Gaetan-Bruel-SenatLa lutte contre les violences et le harcèlement sexistes et sexuels (VHSS) se renforce dans le secteur. À l’occasion du 78ème Festival de Cannes, le CNC a organisé, ce jeudi 15 mai, une conférence sur les prochaines étapes dans le cinéma après 5 ans d’actions contre ces violences.
Gaëtan Bruel, président du Centre national du cinéma et de l’image animée, a tenu à saluer le travail « difficile, long, mais nécessaire » effectué par la commission d’enquête parlementaire sur les VHSS dans le cinéma. Pour rappel, celle-ci avait rendu 86 propositions visant notamment à « améliorer la protection des enfants du spectacle », à « professionnaliser la fonction de référent VHSS » ou à « renforcer le contrôle de l’État et l’information des partenaires sociaux en matière de violences ».
Le président de l’institution a dénoncé un problème « systémique » que « plus personne ne pourra ignorer ». Il y a une « volonté des professionnels du secteur d’avancer et d’avancer ensemble sur ces questions », a exprimé Gaëtan Bruel, tandis que le « rapport a montré que nous allions dans la bonne direction ». Il a rappelé que « dès 2021, le CNC a conditionné l’intégralité de ses aides simplement au respect de la loi, c’est-à-dire à l’obligation de moyens renforcés pour la prévention et la lutte contre les VHSS ». Plus de 6 700 professionnels ont été formés depuis quatre ans, dont 100 % des chefs d’entreprises. « Depuis janvier, cette obligation a été étendue aux équipes de tournage dans le cinéma », a-t-il rappelé, indiquant que 5 500 personnes ont suivi cette formation en cinq mois.
De nouvelles formations rendues obligatoires pour l’audiovisuel en juinGaëtan Bruel a également annoncé que la formation obligatoire des équipes de tournage sera étendue à compter du mois de juin au secteur de l’audiovisuel ainsi qu’aux dirigeants des festivals soutenus par le CNC.
« Nous accompagnons également l’ensemble des écoles soutenues par le Centre pour systématiser, à partir de la rentrée, un module dédié à la santé, à la sécurité au travail et au VHSS », a indiqué le président du CNC.
Des réflexions autour du « bonus parité »À cette occasion, le président a exposé que l’institution culturelle réfléchissait « à la question du bonus parité qui a été recommandé par la commission », soulignant que le nombre de films réalisés par des femmes, qui était de 29,8 % en 2022, est tombé à 25 % en 2023 et 24,2 % en 2024. « Si on prend un autre indicateur, la proportion de films qui sont éligibles au bonus parité, qui montre le rôle que ce bonus peut avoir, était à 34,1 % en 2022, 35,2 % en 2023, mais 32,9 % en 2024 », a-t-il poursuivi, soulignant que ce bonus parité « ne suffit pas ».
Le CNC va donc réfléchir et peut-être retravailler ce bonus, via « un examen attentif pour évidemment définir le seuil qui soit à la fois le plus juste et le plus efficace ». La commission a identifié notamment deux activités « qui mériteraient un encadrement plus important, sur lesquelles le CNC n’a pas de levier direct » : les castings et les agents artistiques. « Nous travaillons en ce moment à résorber ces angles morts avec tous ceux qui sont concernés », a énoncé Gaëtan Bruel. Avant de conclure en indiquant que « ce combat doit mobiliser bien au-delà des partenaires publics, même des partenaires sociaux », mais aussi mobiliser les ministères concernés et le législateur. Aurore Bergé, ministre chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations, a rappelé lors de son discours de clôture de cette matinée d’échanges autour des VHSS avoir créé un groupe de travail parlementaire transpartisan pour élaborer une loi-cadre contre les VHSS.
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16 mai 2025 à 14 h 52 min #196197
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésNouvelle association, mais très peu d’informations sur cette dernière :
Association ACCEPTE – Président : Charles JAEGER
Association des Coordinatrices et Coordinateurs d’Eco-Production pour la Transition Ecologique
https://www.instagram.com/asso.accepte/ -
16 mai 2025 à 11 h 47 min #196196
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésIntervention de Leslie Thomas (Secrétaire générale du CNC) et d’Amandine Mutel (Directrice générale adjointe de l’AFDAS) en direct de Cannes.
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15 mai 2025 à 19 h 16 min #196195
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésArticle Ecran Total – Jeudi 15 mai 2025 – Cannes 2025
Cannes 2025 : l’industrie du cinéma face à ses responsabilités contre les VHSS
Lors d’une table ronde organisée par le CNC, professionnels, élus et institutions ont débattu des avancées et des limites du dispositif actuel. Entre volonté politique, obligations renforcées et tensions sur le terrain, le secteur poursuit sa mue.
Aude HesbertCharline Bourgeois-TacquetErwan BalanantIris KnoblochLouise LebecqNicolas Anthomé
Cannes VHSSMercredi 14 mai, nous apprenions que Théo Navarro-Mussy ne participerait pas à la montée des marches du film « Dossier 137 » de Dominik Moll en raison d’accusations de viols. Une décision sans précédent pour le Festival de Cannes. À l’occasion d’une table ronde organisée par le CNC autour des VHSS dans le secteur, ce jeudi 15 mai, sa présidente, Iris Knobloch, a tenu à rappeler « l’engagement du festival pour la juste place des femmes dans notre industrie » et que « tout film en compétition doit respecter la dignité ». Et de poursuivre : « Ce que nous bâtissons aujourd’hui ici peut devenir un modèle face à ceux et celles qui minimisent ou caricaturent ces enjeux. »
Auparavant, Erwan Balanant, député MoDem et rapporteur de la commission d’enquête relative aux violences commises dans les secteurs du cinéma, de l’audiovisuel, du spectacle vivant, de la mode et de la publicité, a expliqué que désormais, « nul ne pourra plus dire qu’il ne savait pas ».
« Nous avons cette magnifique exception culturelle française, en capacité de produire des œuvres magnifiques », a-t-il rappelé. « Et tandis que vous attendez du cinéma de l’empathie, des hommes et des femmes arrêtent leur métier à cause de cette violence. » L’élu a rappelé que la commission avait notamment émis le souhait, en avril dernier, que la proposition du coordinateur d’intimité soit rendue obligatoire, que la production soit tenue de faire appel à un coordinateur pour une scène d’intimité, et que chaque référent VHSS suive une formation via l’Afdas. Louise Lebecq, déléguée aux affaires sociales du SPI et présidente de la CPNEF Audiovisuel, a rappelé que la fonction de coordinateur « n’existe pas dans les conventions collectives, mais ils sont cités, doivent être certifiés et doivent avoir suivi une formation ». Une piste que les organisations du cinéma devront explorer rapidement ?
Des difficultés à réunir les équipes pour les formationsLors du Festival de Cannes 2024, deux avenants à la convention collective du cinéma ont d’ailleurs été signés par les partenaires sociaux et les syndicats de producteurs pour renforcer la prévention des VHSS à tous les stades de la production, créer des conditions facilitant l’émergence et le traitement des signalements de VHSS le plus tôt possible, améliorer la sécurité des comédiennes et comédiens, et rendre obligatoire la présence d’un responsable des enfants, salarié qualifié pour encadrer les artistes de moins de 16 ans.
Lors de la table ronde, Nicolas Anthomé, producteur chez Bathysphere Productions, a expliqué la difficulté de réunir « en un même lieu les équipes qui ont énormément de travail avant le début du tournage » pour les formations contre les VHSS du CNC. « Il faudrait imaginer un peu de souplesse sur l’encadrement des formations », a-t-il indiqué. Un constat partagé par Charline Bourgeois-Tacquet, réalisatrice, qui a regretté avoir « perdu » une demi-journée de tournage pour que les équipes y assistent. « Il y a des questions à se poser concernant l’organisation », a-t-elle commenté. « Si on les fait hors tournage, il faut payer tout le monde, si on le fait pendant le tournage, nous perdons du temps, ce n’est pas possible pour des films à petit budget. » Néanmoins, elle a souligné avoir « tout appris » lors de cette formation, notamment sur le cadre juridique des VHSS. « En tant qu’employeur, on ne connaît pas toute l’étendue de notre responsabilité, et les employés ne connaissent pas leurs droits », a soutenu Aude Hesbert, directrice générale de Hopscotch Cinéma.
Nicolas Anthomé a également regretté la responsabilité qui incombe aux producteurs. « Nous sommes responsables de ce qui se passe durant les pots de tournage et cela nous stresse énormément », a-t-il confié. « J’ai été obligé d’interdire l’alcool lors des pots de la production pour éviter tout comportement répréhensible. Mais je ne peux pas contrôler ce qui se déroule lors des pots de techniciens, par exemple. » Charline Bourgeois-Tacquet, qui a échangé avec les équipes de son dernier film La Vie d’une femme avant cette table ronde, a noté que certains, « notamment ceux de plus de 45 ans », ont jugé la formation trop « infantilisante ». Un ressenti qui souligne la nécessité d’adapter les dispositifs à la diversité des profils. Le CNC devra encore ajuster son approche pour assurer à la fois efficacité, acceptabilité et continuité dans la prévention des VHSS.
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10 mai 2025 à 9 h 36 min #196179
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésConvention collective Audiovisuel – Nouvelles obligations (Mars 2025)
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8 mai 2025 à 10 h 51 min #196165
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésExtrait de la newsletter du CPNEF – La lettre flash – 07/05/2025
Annonce attendue lors du festival de Cannes :
Vendredi 16 mai à 12h00 — Conférence Cocktail La Certification Coordinateur.rice d’intimité : enjeux, calendrier et perspectives pour le secteur avec la CST
En collaboration avec la Commission Supérieure Technique de l’Image et du Son (CST), la CPNEF de l’audiovisuel dévoilera en exclusivité le contenu et le calendrier du Certificat de Qualification Professionnelle (CQP) Coordinateur·rice d’intimité, un nouveau dispositif de formation certifiante pour un métier en plein essor, garant de la sécurité et du respect sur les plateaux. Ce lancement s’inscrit dans une dynamique d’encadrement éthique et professionnel des scènes d’intimité.
📍 Village International Pantiero – Pavillon 206 (accréditation obligatoire)
Source : https://mailchi.mp/79c1e76e5eb0/cpnef-de-laudiovisuel-la-lettre-dinfo-n99-16557961?e=f5563c924e
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6 mai 2025 à 17 h 32 min #196154
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésMerci Florence
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6 mai 2025 à 17 h 26 min #196153
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésArticle in Libération – par Sandra Onana
publié le 5 mai 2025 à 17h35Interview
Annonce de Donald Trump de surtaxer les films tournés à l’étranger : «Les studios seraient les premières victimes de ces droits de douane !»Jordan Mintzer, correspondant à Paris du «Hollywood Reporter», estime que la mesure annoncée par le président américain dimanche 4 mai pénaliserait surtout les studios et rappelle le contexte de crise que traverse l’industrie hollywoodienne.
Donald Trump lors de la recherche du prochain «Apprentice» les studios Universal de Los Angeles, en 2006.«NOUS VOULONS DES FILMS MADE IN AMERICA» annonçait Donald Trump dimanche 4 mai sur son réseau Truth Social, assurant imposer prochainement des droits de douane de 100% sur les films produits à l’étranger sans plus de précision sur les modalités. En cause, la délocalisation grimpante des tournages, alors que «d‘autres pays offrent toutes sortes d’incitations pour attirer nos cinéastes et nos studios loin des Etats-Unis» s’est insurgé le président américain. C’est en effet la crise à Hollywood. 22% de tournages en moins à Los Angeles au premier trimestre 2025 par rapport à 2024. L’Alliance internationale des employés du théâtre et du cinéma estime à 18 000 le nombre d’emplois à temps plein supprimés ces trois dernières années, particulièrement en Californie. Le mouvement «Stay in LA» (restez à Los Angeles) réclame des mesures pour le futur de la production cinématographique, alors que la ville se remet péniblement des mégafeux qui l’ont dévastée. Décryptage par Jordan Mintzer, correspondant à Paris du Hollywood Reporter.
A quel point l’annonce de droits de douane de 100 % sur les films étrangers peut-elle être prise au sérieux?
A chaque fois, c’est pareil avec Donald Trump, on croit qu’il raconte n’importe quoi et ça se traduit d’une manière ou d’une autre par une action politique. Est-ce qu’il compte réellement instaurer des droits de douane sur le cinéma produit à l’étranger? On ignore qui a pu lui souffler cette idée absurde, mais il y a du vrai dans le constat de départ sur Hollywood. L’industrie est dans une phase de récession, l’emploi est en crise, le box-office n‘a jamais retrouvé le niveau pré-Covid. Il y a eu la crise sanitaire, les grèves historiques, les incendies de LA. La baisse de la production aux Etats-Unis est telle que des techniciens changent de métier, il n’y a plus assez de tournages. L’industrie a besoin d’aide, c’est vrai, mais la question, c’est quel type d’aide? Les droits de douane, c’est l’inverse du genre de mesures attendues.
On voit mal comment cela retiendrait les blockbusters façon Mission Impossible d’être tournés sur plusieurs continents… L’industrie n‘attendrait-elle pas plutôt de nouveaux programmes d’incitation à rester aux Etats-Unis, via des subventions, des crédits d’impôts, etc.?
Personne ne comprend ce que ça veut dire, taxer des films étrangers. De quoi parle-t-on? Des films hollywoodiens tournés à l’étranger? S’il fait ça, les studios seraient les premières victimes de ces droits de douane! Ou alors, on vise les films en langue étrangère, mais Trump ne parle pas des frères Dardenne ou de Hong Sang-soo! Ça veut dire que les prix des billets de cinéma vont doubler? Déjà que ces films-là ne marchent pas aux Etats-Unis… Comme toutes les industries américaines de nos jours, Hollywood est complètement globalisé. La stratégie est aussi désastreuse que celle des taxes douanières pour aider l’industrie automobile, qui a dû protester: «Surtout pas! Ca va être plus cher pour nous de fabriquer des voitures!» Si de nombreux tournages ont lieu en dehors des Etats-Unis aujourd’hui, c’est pour des raisons fiscales, beaucoup de pays ont mis en place des crédits d’impôts. Par ailleurs, plus de la moitié des recettes d’un film hollywoodien aujourd’hui viennent de l’étranger – certains, comme Minecraft, marchent même mieux à l’international qu’aux Etats-Unis. Si les pays réagissaient à l’annonce de Trump en appliquant des droits de douane réciproques, les studios souffriraient doublement.
La crise des tournages est telle que Los Angeles serait à l’industrie du cinéma ce que Detroit est à l’industrie automobile…
Oui, et les accords arrachés au cours des grèves à Hollywood en 2023 ont aussi fait augmenter le coût du salariat. Mais ce phénomène n‘est pas récent, les tournages sont délocalisés depuis au moins trente ans. Ce qui incite à rester tourner aux Etats-Unis, ce sont les aides à la production mises en place par les Etats au niveau local [comme la Californie de Gavin Newsom, ndlr]. Si Trump avait annoncé une aide d’un milliard d’euros aux Etats pour retenir les productions hollywoodiennes sur place, ça aurait été bien accueilli. Mais il est au contraire en train de couper le budget des agences d’arts publics, du Fonds national pour les arts (NEA), des médias publics…
L’idée pourrait-elle venir de son trio «d’ambassadeurs spéciaux» à Hollywood Mel Gibson, Sylvester Stallone et Jon Voight ?
Ces trois acteurs ne représentent plus rien à Hollywood. Mais ils font tout de même plus ou moins partie du système des studios et la seule préoccupation des studios est d’être rentable, il n’est pas dans leur intérêt de voir des taxes s’appliquer à leurs propres films.
La Chine avait quant à elle annoncé qu’elle réduirait encore son quota de films américains… Une politique de quotas sur les films tournés à l’étranger serait-elle un levier plus intuitif que des taxes douanières?
Possible, mais les studios seraient-ils prêts à mettre le prix pour rester tourner aux Etats-Unis? Leurs réactions pourraient être de se dire «ok, on tourne moins de films alors» , et basta. Parfois, les films sont tournés à l’étranger pour la bonne et simple raison qu’Emily in Paris ne peut pas être filmé à New York, mais c’est le plus souvent des questions de coût. Certains peuvent trouver que les crédits d’impôts qui existent dans beaucoup de pays sont des méthodes de protectionnisme déloyales –on connaît l’envergure de l’exception culturelle française– mais chacun décide de sa politique culturelle et il faut bien reconnaître qu’il n‘y a jamais eu beaucoup d’aides aux Etats-Unis. C’est très pénalisant pour l’industrie indépendante qui ne s’en sort plus du tout.
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2 mai 2025 à 14 h 20 min #196145
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésReçu le 30 avril 2025 :
Bonjour Madame, Monsieur,
Je me permets de vous écrire car je suis actuellement à la recherche d’un stage en production audiovisuelle, et le temps commençant à presser, je me permets de vous solliciter directement.
Je m’appelle Lalia Barry, je suis étudiante en première année de BTS Métiers de l’Audiovisuel, option Gestion de Production, au lycée Henri Martin à Saint-Quentin. Ce stage, d’une durée de 5 semaines (entre le 19 mai et le 4 juillet 2025), est une étape essentielle dans ma formation.
Depuis le lycée, je me suis orientée vers le cinéma avec passion, en choisissant une spécialité cinéma audiovisuel, en participant à des festivals et même en intégrant un jury jeune. Ma formation actuelle m’a permis d’acquérir des bases solides en organisation de tournage, gestion de planning, élaboration de bons de commande ou encore coordination d’équipes techniques.
Je suis sérieuse, motivée, volontaire… mais à quelques semaines du début de la période de stage, je commence à vraiment stresser. Je reste pourtant pleinement disponible et déterminée à intégrer une équipe pour apprendre sur le terrain.
Si jamais vous avez une opportunité ou même un conseil à me donner, je serais très reconnaissante de votre aide.
Merci d’avoir pris le temps de me lire,
Bien cordialement, -
2 mai 2025 à 11 h 13 min #196127
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésNICE-MATIN – Publié le 01/05/2025 à 08:45, mis à jour le 01/05/2025 à 08:45
« Wokisme »: la Région Paca refuse de verser une subvention à une école de cinéma pour avoir utilisé l’écriture inclusive
https://www.nicematin.com/politique/wokisme-la-region-paca-refuse-de-verser-une-subvention-a-une-ecole-de-cinema-pour-avoir-utilise-l-ecriture-inclusive-984041FRANCE INFO – Écrit par Dotte Frederic
Publié le 29/04/2025 à 11h59 Mis à jour le 29/04/2025 à 12h16
« Faut-il se plier à la « Muselière » ? La Région Paca interdit l’écriture inclusive jugée « wokiste », une école de cinéma privée de budget
https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/bouches-du-rhone/marseille/faut-il-se-plier-a-la-museliere-la-region-paca-interdit-l-ecriture-inclusive-jugee-wokiste-une-ecole-de-cinema-privee-de-budget-3145034.html -
16 avril 2025 à 18 h 58 min #195727
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésDemande de stage reçue le 16/04/25
Bonjour,
Actuellement en première année cinéma au sein de l’établissement 3iS à Elancourt (78), je suis à la recherche d’un stage d’un minimum de 3 semaines au mois de juin. Fortement intéressé par la partie production et régie du monde audiovisuel, je me destine à poursuivre cette professionnalisation en deuxième année. Ainsi, je me demandais si des régisseu.r.se.s étaient à la recherche de renfort régie sur cette période dans la région parisienne. Merci d’avance pour votre réponse !
Gaël CADIC
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19 mai 2025 à 12 h 39 min #196203
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésPetites précisions : Ils sont installés en Auvergne et ce n’est pas vraiment une cantine car ils ne disposent pas de barnum (ni tables et chaises) simplement un foodtruck….
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9 mai 2025 à 18 h 09 min #196177
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésMaintenant, il faut que tu nous en dises plus 😉
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AuteurRéponses