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16 avril 2025 à 18 h 58 min #195727
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésDemande de stage reçue le 16/04/25
Bonjour,
Actuellement en première année cinéma au sein de l’établissement 3iS à Elancourt (78), je suis à la recherche d’un stage d’un minimum de 3 semaines au mois de juin. Fortement intéressé par la partie production et régie du monde audiovisuel, je me destine à poursuivre cette professionnalisation en deuxième année. Ainsi, je me demandais si des régisseu.r.se.s étaient à la recherche de renfort régie sur cette période dans la région parisienne. Merci d’avance pour votre réponse !
Gaël CADIC
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16 avril 2025 à 10 h 47 min #195720
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésNOUVEAU COLLECTIF DECO : LE C.E.R.F
Mail reçu le 16/04/25OBJET : Présentation aux associations professionnelles du nouveau collectif au meublage_Le C.E.R.F.
Chers collègues,
Nous vous présentons notre récent collectif Le C.E.R.F.
Collectif des Ensembliers.ères et Régisseurs.ses d’extérieurs Français🔸Il a été créé en juin 2024 par un petit groupe d’ensemblières et régisseuses d’extérieurs.
🔸Le but premier est:
– de créer du lien entre ses membres, car nous nous croisons régulièrement dans les stock/puces/antiquaires/studios, et nous ne nous connaissons pas tous.tes
– de nous permettre de nous entraider
– de défendre nos intérêts communs
– de partager nos outils et pratiques de travail: type de dépouillement, mise en place d’une feuille d’heures meublage dès la prépa, etc…
🔸Les membres du collectif doivent avoir un minimum de 4 longs métrages ou 4 séries complètes à leur actif, et doivent être parrainés pour en faire partie, afin de garantir des échanges professionnels.
🔸Actuellement notre collectif regroupe 165 membres.
🔸Nous nous sommes réunis pour la première fois le mercredi 2 avril 2025, où nous étions 70.
🔸Voici notre logo créé avec l’aide de notre collègue graphiste Pauline Grethen:
https://drive.google.com/file/d/1UceG-GgtHajQayJtvSo_7TodpyTp-Fle/view?usp=drive_link>🔸La prochaine étape sera de mettre en place une charte et de créer un site internet vitrine avec un annuaire.
🔸A noter que nous restons en lien avec l’association MAD, dont certains membres de notre collectif sont adhérents.Merci pour votre attention,
Bonne journée
Le C.E.R.F. –
Collectif des Ensembliers.ères et Régisseurs.ses d’extérieurs Français-
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Stéphan GUILLEMET.
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16 avril 2025 à 9 h 32 min #195719
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésReçu le mardi 15 avril 2025 :
OBJET : MARQUE E31D
(Note du bureau : l’AFR n’a pas été contactée en amont de cet envoi. C’est donc une information brute qui vous est transmise)
Bonjour,
Je vous écris pour vous présenter E31D, une marque de vêtement passionnément dédié aux métiers de l’audiovisuel – et plus précisément à celles et ceux qu’on ne voit jamais à l’écran, mais sans qui rien ne serait possible.
Notre idée : mettre en lumière les gens dans l’ombre.
Notre slogan : Révélons les invisibles !Comment ?
À travers une collection de t-shirts qui célèbre les membres de l’équipe technique, et un blog où l’on parle de ces métiers avec simplicité et bienveillance. On y partage aussi quelques repères utiles pour les futurs pros qui s’apprêtent à entrer dans la branche.Dans chaque fiche métier, nous mentionnons l’association de référence liée à la profession.
L’idée, c’est de créer du lien, valoriser les ressources existantes, et faire connaître votre engagement à un plus large public.Voici le lien vers la page métier :
https://e31d.com/unit-manager-facilities-regisseuse/
https://e31d.com/facilities-regisseur/Bonne Journée
Cordialement
E31D
@e31d.unit
http://www.e31d.com -
15 avril 2025 à 10 h 25 min #195667
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésReçu le 14/04/25
Expéditeur : Ambre Bouscatel – – 07 68 79 21 96Bonjour,
Je suis actuellement étudiante en deuxième année de cinéma à l’ESRA Nice, et je suis à la recherche d’un stage sur la Côte d’Azur idéalement du 3 mai au 13 mai et/ou du 2 juin au 15 juin 2025 et en région parisienne de juillet à mi septembre 2025.
Je m’intéresse particulièrement à des missions en régie, aide à la régie/ recherche de lieux/blocages etc, ou encore sur un plateau notamment pour accompagner l’organisation d’un tournage.
Je vous mets ci-joint mon CV, merci beaucoup pour votre temps et l’attention que vous porterez à ma demande.Ambre Bouscatel – – 07 68 79 21 96
Son CV -
14 avril 2025 à 8 h 57 min #195661
Stéphan GUILLEMET
Maître des clés(Vie des Associations )
LSA – BUREAU 2025 – https://www.lesscriptesassocies.org/Bonjour à tout.e.s !
Ce mail pour vous présenter le Bureau LSA 2025 :PRÉSIDENCE : Natasha Gomes de Almeida – Fanny Picon
TRÉSORERIE & ADHÉSIONS : Delina Petite Pierre – Karen Waks
SECRÉTARIAT & RELATIONS INTERNES : Emilie Delaunay – Marie Maurin – Fanny Olivier
RELATIONS EXTERNES : Virginie Cheval – Audrey Mulin
RELAIS WEB : Manon Bernard – Violaine Grillas – Hélène Peyrou
PÔLE ASSISTANT(E)S : Laura Cordeboeuf – Hélène Peyrou
PÔLE VHMSS : Laura Cordeboeuf – Angèle Pignon – Elma Timoteo
PÔLE ÉCOPROD: Natasha Gomes de Almeida – Audrey Mulin
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14 avril 2025 à 8 h 29 min #195660
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésDemande de stage reçue le 13/04/25
Expéditeur : Esther MONTOUT – 06 58 55 71 75Chères régisseuses, chers régisseurs,
Je vous écris dans l’espoir de donner suite à mon désir d’effectuer un stage, rémunéré ou non, en régie.
Dans le cadre de mon Master, une convention est à ma disposition pour un stage pouvant s’étendre de mai à fin juillet.Je m’oriente vers la production et, avant cela, j’aimerais vivement acquérir une expérience sur un plateau, afin d’en mieux connaître les coulisses et d’en découvrir le point de vue logistique, budgétaire, etc.
Dans le cas où certains d’entre vous auraient besoin d’un·e assistant·e, je vous transmets mon CV en pièce jointe.
N’hésitez pas à me contacter pour toute piste que vous souhaiteriez me suggérer.Je vous remercie d’avance pour l’attention portée à ces quelques mots et reste à votre disposition pour toute information complémentaire.
Bien à vous,
Esther Montout
CV en ligne -
11 avril 2025 à 16 h 06 min #195659
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésDemande de stage reçue sur la boite mail de l’AFR (10/04/25)
Nom :Moussa Fatima – 0768518394
E-mail :
Votre message
Bonjour,Je m’appelle Fatima Moussa et je suis actuellement en troisième année de licence de cinéma à l’université Paris 8. Je suis à la recherche d’un stage pour continuer à me former concrètement aux métiers du cinéma, sur le terrain. Au fil de mes études, j’ai eu l’occasion de toucher à plusieurs aspects de la pratique. J’aimerais vraiment mettre ces compétences en pratique dans un cadre professionnel, tout en continuant à apprendre au contact d’une équipe.
Si jamais vous cherchez une stagiaire motivée, curieuse et prête à s’impliquer, je serais ravie de vous rencontrer ou d’échanger avec vous.
Merci pour votre attention,
Bien à vous,Fatima Moussa
0768518394 -
11 avril 2025 à 10 h 15 min #195658
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésReçu le 10 avril 2025 :
OBJET : Matthieu Rouvin – VILLAGE FACTORY / ATELIER DECO IDF / +33 628 055 555
Bonjour Secrétariat,
Je vous contacte pour vous informer de la prochaine disponibilité de notre atelier déco de St Maur.
Cet atelier fait plus de 2000 m2 et comprend deux espaces de 800 m2 et 900 m2, dont un sous verrière, ainsi que plus de 300 m2 de bureaux équipés.
Vous trouverez deux cours avec quais de déchargement et un parking souterrain pour 26 voitures.
N’hésitez pas à nous contacter si cet atelier vous intéresse.
Nous avons d’autres surfaces d’atelier à St Denis (La Plaine), Colombes et Montreuil. Ces sites peuvent également servir de décors naturels…
VF Saint Maur – Plaquette-2-compressé.pdf
A bientôt.
Cordialement,Matthieu Rouvin
+33 628 055 555
Co-fondateur
Village Factory
https://www.linkedin.com/in/matthieurouvin/ -
11 avril 2025 à 9 h 57 min #195657
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésArticle Ecran Total (9/04/25)
La commission d’enquête parlementaire sur les VHSS livre ses recommandations
La commission d’enquête parlementaire sur les VHSS livre ses recommandations
Après avoir auditionné plus de 350 professionnels, la commission d’enquête de l’Assemblée nationale a présenté ce 9 avril 2025 son rapport très attendu sur l’ampleur des VHSS dans la culture. 87 propositions pour mieux prévenir ces violences ont été formulées.
Assises au premier rang de la salle Colbert de l’Assemblée nationale, les yeux embués et les mains liées pour certaines, tremblantes parfois, Judith Godrèche, Sara Forestier et Nadège Beausson-Diagne écoutent religieusement ce 9 avril les conclusions du rapport de la Commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur les violences commises dans le cinéma, l’audiovisuel, le spectacle vivant, la mode et la publicité. Par moments, elles frétillent, applaudissent, lâchent un « merci » vigoureux.
Devant elles, Sandrine Rousseau, la présidente de la commission, et Erwan Balanant, le rapporteur, se succèdent au pupitre et étayent leurs 86 recommandations pour mieux prévenir les violences, changer les pratiques et améliorer la prise en charge des victimes.
Après 85 auditions et tables-rondes, 118 heures d’échanges et 350 professionnels des secteurs concernés entendus, auxquels s’ajoutent les 23 auditions et tables-rondes menées par la première commission d’enquête avant la dissolution de l’Assemblée nationale en juin 2024, le rapport de la commission d’enquête pointe le caractère « systémique, endémique et persistant » des violences morales, sexistes et sexuelles dans le monde de la culture.
« La création passe avant tout, y compris le droit du travail ; l’argent passe avant tout, y compris le droit du travail, a dénoncé la députée écologiste Sandrine Rousseau. Il est temps d’ouvrir grand les oreilles et de mieux traiter les victimes. » Et son camarade démocrate Erwan Balanant d’embrayer : « Ce rapport est l’anatomie d’une machine à broyer les talents, nous sommes dans un système qui ne fait qu’amplifier la culture patriarcale et sexiste ; cela n’est que le reflet de notre société, le cinéma n’est pas plus mauvais que le reste du monde, mais il amplifie les violences. »
Protection des enfants et des comédiensCes 86 propositions ont été classées en différentes parties : « améliorer la protection des enfants du spectacle », « professionnaliser la fonction de référent VHSS », « renforcer le contrôle de l’État et l’information des partenaires sociaux en matière de violences », « former les professionnels de la culture », « mieux protéger les professionnels, notamment les comédiens dans les moments à risque de leur carrière », « limiter les phénomènes d’omerta et mettre les employeurs du secteur culturel face à leurs responsabilités », « améliorer la prise en charge des victimes de violences morales, sexistes ou sexuelles dans un cadre professionnel » et « faire de la culture un réel levier de changement sociétal ».
Parmi les principales recommandations, citons par exemple :
prohiber la représentation sexualisée des mineurs à l’écran et dans les photographies de mode ;
étendre le cadre juridique actuel aux mineurs âgés de 16 à 18 ans ;
soumettre l’emploi de mineurs par les agences de mannequins à un agrément individuel ;
étendre la présence obligatoire d’un responsable des enfants à toutes les productions artistiques, élargir ses missions et professionnaliser son statut par la création d’une certification ;
prévoir un cadre plus protecteur pour les enfants de moins de 7 ans ;
responsabiliser les parents et assurer leur pleine information (par exemple, transmission obligatoire du scénario par la production) ;
contrôler l’honorabilité de toutes les personnes amenées à encadrer des enfants dans le secteur culturel et rendre obligatoire un niveau de diplôme minimum pour l’encadrement des enfants.
prévoir une forme de certification par l’AFDAS pour la fonction de « référent VHSS », interdire l’accès à ces fonctions des personnels appartenant à la direction, favoriser la nomination d’un binôme paritaire sur les tournages ;
imposer la rédaction par le référent, à l’attention du CNC et du CCHSCT, d’un rapport de fin de tournage et étendre cette obligation aux productions du spectacle vivant ;
assurer un réel contrôle de l’inspection du travail par le détachement d’un inspecteur auprès du CNC et du CNM et rendre obligatoire la transmission des lieux de casting et de tournage dès le premier jour ;
renforcer les moyens humains et financiers des CCHSCT du cinéma et de l’audiovisuel et créer un CCHSCT pour le spectacle vivant et le mannequinat.
inclure obligatoirement une formation au droit du travail et à la prévention des violences en milieu professionnel, notamment morales, sexistes et sexuelles, dans le tronc commun de toutes les écoles du secteur culturel, assortie d’un examen ;
étendre les obligations de formation applicables aux tournages de films de cinéma à l’audiovisuel et au spectacle vivant, mais aussi aux directeurs de casting et aux agents artistiques ;
former les agents de sécurité aux VHSS pour mieux protéger les festivals et autres lieux festifs.
réglementer les castings en les organisant obligatoirement dans des locaux professionnels, pendant les heures ouvrables, en présence de deux personnes au moins et en interdisant les scènes d’intimité ou de nudité même partielle, à moins qu’un coordinateur d’intimité ne soit présent ;
réglementer à nouveau la profession d’agent, en mettant à leur charge une obligation d’aide et d’assistance vis-à-vis de leurs clients, assortie d’une sanction ;
encadrer les scènes d’intimité des productions cinématographiques et audiovisuelles, en rendant obligatoires des clauses détaillées au contrat, en proposant obligatoirement aux acteurs la médiation d’un coordinateur d’intimité et en donnant un droit de regard aux comédiens sur le montage final, sous l’égide du CNC ;
faciliter la réalisation des enquêtes internes, notamment par la certification des organismes susceptibles de les réaliser ;
rendre obligatoire la couverture assurantielle des risques VHSS des productions culturelles ;
obliger les employeurs à signaler au procureur les faits de violences sexuelles dont ils ont connaissance.
rendre obligatoire le déclenchement d’une enquête et la réalisation d’actes d’investigation (audition de l’auteur présumé, saisie de ses ordinateurs et téléphones, etc.) en cas de dépôt de plainte pour VHSS ;
prévoir une aide juridictionnelle de plein droit pour accompagner les victimes lors du dépôt de la plainte ;
conditionner toutes les aides publiques au secteur culturel au respect de la parité, y compris les subventions versées à des associations comme la Cinémathèque française ;
transformer le bonus parité du CNC en malus ;
créer un dispositif incitatif en matière de représentation de la diversité de la société.Pour la commission d’enquête, l’enjeu est à présent de rédiger une proposition de loi transpartisane reprenant les recommandations de nature législative. Aucun calendrier n’a pour l’heure été dévoilé. Erwan Balanant et Sandrine Rousseau ont également donné rendez-vous aux professionnels du secteur pour deux tables-rondes sur le sujet le 30 avril prochain pour « continuer la réflexion ».
« Le rapport est maintenant public, plus personne ne pourra l’ignorer (…), mais ce n’est que le premier acte, pas la fin de la pièce, ce sera aux acteurs de la filière de s’en saisir », a conclu le député démocrate. Le président du CNC Gaëtan Bruel, le directeur adjoint délégué Olivier Henrard et la secrétaire du CNC Leslie Thomas étaient également présents dans la salle, mais ils n’ont pas pris la parole. Au terme de la conférence de presse, Judith Godrèche était elle en larmes.
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9 avril 2025 à 12 h 17 min #195641
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésBonjour à toutes et à tous,
Veuillez trouver ci-après le RAPPORT de la commission d’enquête parlementaire sur les violences dans le cinéma et le spectacle.
PDF de 660 pages
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25 mars 2025 à 8 h 57 min #195521
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésMerci Fanette pour ce CR.
Complètement d’accord pour que le CCHSCT Cinéma soit davantage présent et sollicité; mais c’est une question de moyens quand on constate que Didier Carton (pour le cinéma) est seul pour l’ensemble des tournages qui se déroulent sur le territoire français (outre-mer compris) !!!!
Et quid du CCHSCT Audiovisuel ???? -
21 mars 2025 à 15 h 53 min #195480
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésVISIO TEAMS DU 24/03/25 entre 19h et 20h30
Voici les différents sujets qui seront abordés ce lundi 24 mars 2025 lors de la visio PARIS FILM (MCP) / AFR / ADP
Voici la liste des sujets qu’on évoquera lundi soir :
-(MCP)
• branchements et équipements électriques
• éléments de communication pour la Ville et ses arrondissements
• Joindre systématiquement la charte VHSS lors du dépôt de la demande
• Déposer une demande par date/arrondissement
• Solliciter la Mission cinéma en amont afin d’éviter les demandes inutiles/ non réalistes
• Adresser un plan légendé/daté sur lequel figurera l’ensemble des informations relatives au tournage (stationnement, emplacement du décor, emplacement de la cantine, heures de présence, etc.)
• Penser à joindre l’arrêté en vue de la neutralisation dans les arrondissements concernés et lorsque le tournage le justifie (film d’époque, cascades, etc.)
• Proposer des déviations de circulation cohérentes
• Demander aux repéreurs d’aller repérer sur site et de consulter notre site internet (rubrique rues interdites et mises au repos notamment)
• Bien décrire la nature des séquences lors de la demande afin de nous permettre de savoir quel(s) service(s) saisir
• Ne pas demander des tournages de nuit dans des quartiers étroits afin de ne pas tourner sous les fenêtres des riverains
• Ne pas déposer de demande agate tant que la demande n’est pas finalisée et définitive afin d’éviter les allers et retours entre la production et la Mission Cinéma-(AFR+ADP) demande de RDVs préalables aux demandes d’Agate (cf.demande 1 de l’AFR)
-(AFR) demande d’écrit (de tout rédacteur) actant un refus (en lien avec la demande 1 de l’AFR)
-(AFR) contraventions des véhicules en dépit des autorisations
-(AFR) nouvelle évolution des dispositifs de stationnement ? Extension des arrêtés ? Tarification différente pour les véhicules électriques ? nouvelles grilles tarifaires ?
-(AFR+ADP) situations complexes de racket : perspectives d’une collaboration urgente et plus étroite entre la Mission et la police ?
-(ADP) demande de souplesse en matière de limitation des moyens techniques et logistiques : productions à gros budget vs films du milieuDemande 1 de l’AFR) = Les régisseur(es)s dépendant d’Agate, nous ne savons pas au préalable la fragilité de certaines demandes ( et ce, malgré l’aide précieuse du site de la Mission, répertoriant les rues interdites, au repos etc..). Donc, lorsqu’une mairie oppose un refus assez tardivement, il nous incombe de l’annoncer au réalisateur ( trice), et production; ce qui nous met dans une position extrêmement délicate, même si nous avons effectué notre travail dans les délais, et avec le sérieux qui s’impose. Cette situation peut s’avérer délétère pour notre réputation, d’autant plus dans notre fragile situation d’intermittence du spectacle, alors que nous ne sommes, à ce moment-là, que des messagers.
Nous nous interrogeons donc sur la possibilité d’un échange avec vos services,au préalable d’Agate ( comme nous le faisions auparavant avec la préfecture), afin de nous assurer de la faisabilité de nos demandes. -
17 mars 2025 à 11 h 28 min #195405
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésInterview de Sandrine Rousseau dans Libération (14/03/25)
par Mathilde Roche – publié le 14 mars 2025 à 15h49
#MeTooCinéma : Dujardin, Lellouche, Rouve, Marmaï auditionnés, «ça les oblige à une mini prise de conscience», selon Sandrine RousseauLa députée écologiste, présidente de la commission d’enquête sur les violences commises dans le milieu culturel, s’exprime sur les dernières auditions dont celle, mouvementée, du producteur Dominique Besnehard, jeudi 13 mars, et de célèbres acteurs.
Depuis octobre, la commission d’enquête parlementaire sur les violences commises dans le cinéma français mène sa mission d’investigation. Un travail marqué jeudi 13 mars par un coup d’éclat médiatique : l’audition assez mouvementée du directeur de casting et producteur Dominique Besnehard, figure incontournable dans le métier depuis cinquante ans, par ailleurs accusé d’agression sexuelle dans plusieurs témoignages révélés par l’Obs en février 2024. Au lendemain de cette confrontation, qui ne doit pas masquer un travail plus vaste effectué à l’abri des caméras, Sandrine Rousseau, députée Les Ecologistes et présidente de la commission, répond à Libération sur les échanges récemment menés entre députés et grosses têtes du grand écran.
Les propos tenus par Dominique Besnehard, qui se revendique «de l’ancien monde», ont interpellé dans les médias et sur les réseaux. L’échange passionne d’autant plus que c’était une des rares auditions publiques. Est-ce que cette retranscription vidéo facilite, ou au contraire biaise votre travail d’enquête ?
Dominique Besnehard avait demandé à être entendu en huis clos, mais je ne le lui ai pas accordé. Il a eu tellement de propos en interview contre les femmes qui ont pris la parole, contre les actrices qui ont témoigné, qu’il me semblait important de l’entendre publiquement. Je l’ai accordé aux acteurs [Jean Dujardin, Gilles Lellouche, Jean-Paul Rouve et Pio Marmaï, qui ont été entendus lundi 10 mars, ndlr], même si je regrette qu’ils en aient fait la demande. Pour moi, le plus important c’était qu’ils viennent. J’avais peur que, sinon, ils trouvent plein d’arguments calendaires pour ne pas venir.
Pourquoi ces acteurs ont demandé à être entendus en huis clos selon vous ? Le compte rendu public des entretiens menés à l’Assemblée nationale n’est-il de toute façon pas obligatoire ?
Ils savent qu’une retranscription publique révélera en détail ce qu’il s’est passé durant l’audition. Elles leur ont été envoyées pour relecture et seront publiées prochainement. Ils ne peuvent pas changer radicalement leurs propos, mais ils ont un droit de regard. Je note quand même qu’à la fin des entretiens, quand je leur ai demandé s’il y avait des passages qu’ils ne souhaitaient pas voir dans le compte rendu, aucun n’a répondu par l’affirmative. Je pense qu’ils avaient seulement peur qu’une phrase soit sortie de son contexte, coupée à la vidéo, montée et mise sur les réseaux sociaux. Evidemment, il y a des enjeux très forts pour eux, sur leur carrière et leur notoriété. Ils voulaient sécuriser les échanges. Et je l’entends. La priorité c’était qu’on discute, qu’on échange, et c’est ce qu’on a fait.
Dans le cas de personnalités comme Dominique Besnehard, qu’on sait réfractaire à l’objet même de votre Commission parlementaire, qu’attendez-vous des échanges ? Des aveux, des excuses ?
Mon objectif dans cette commission d’enquête est d’avoir un résultat, de vraiment faire bouger les choses. Ce n’est pas de faire du spectacle, pas de faire des clashs, mais de travailler sur les blocages, sur les manques législatifs, pour permettre à tout le monde d’avancer. Parce que c’est un enjeu de santé publique majeur. Dominique Besnehard est un acteur important, au sens de rouage, du monde du cinéma. Et il fait partie, à mon sens, de ceux qui, par leurs propos, par leur résistance active au mouvement MeToo, bloquent l’avancée du monde du cinéma. Donc le but c’était de comprendre, de savoir comment il argumente, pourquoi il fait ça. On voit qu’il refuse un peu de prendre ce virage, mais moi, je ne l’ai pas senti aussi fermé que ce qu’on pouvait présumer de ses postures médiatiques.
Est-ce que vous aviez des attentes différentes avec les acteurs reçus ?
Ils ne sont pas tout à fait sur la même ligne que Besnehard, puisqu’ils reconnaissent que le mouvement MeToo est important, mais ce ne sont pas non plus, aujourd’hui, les plus moteurs dans la lutte contre les violences dans le cinéma non plus. Donc ce sont des auditions intéressantes, parce que le fait d’être convoqués, de devoir conscientiser et assumer leur posture, de devoir expliquer pourquoi ils ont telle ou telle attitude, pourquoi ils disent telle ou telle chose, cela les oblige à se positionner plus explicitement. Parce que la réaction la plus facile aujourd’hui c’est “ras-le-bol de MeToo”, c’est une phrase qui balaye la question, ça n’a pas besoin de discussions. Mais en fait on les interroge sur le pourquoi de ce ras-le-bol, qu’est-ce que ça veut dire ? Est-ce que, du coup, vous validez les violences ? C’est quoi le sujet ? Derrière, ça les oblige un peu à bouger, à s’expliquer et pourquoi pas à avoir une mini prise de conscience.
Et vous avez l’impression d’avoir vu naître cette prise de conscience chez certains ?
Je pense que c’est un peu trop tôt pour le dire. C’est comme des graines qu’on plante, on verra ce que ça donne après. Mais par exemple, la première question qu’on leur a posée, c’est “est-ce que vous avez déjà été témoin de scènes qui s’apparentent à des violences ?” Ils ont commencé par dire “non, rien du tout, vraiment, je ne sais pas de quoi on parle”. Puis au fil de l’audition, ils ont révélé des choses. Et à la fin, on leur a fait la réflexion : “vous voyez bien qu’en fait, vous avez vu et entendu des gestes ou des propos problématiques”. Leur réponse c’était “ah ben oui, c’est vrai, on s’est peut-être pas rendu compte”. Donc j’attends de lire ou d’entendre, dans les semaines et mois qui viennent, ce que des gens comme Dominique Besnehard, mais aussi Dujardin, Lellouche, Rouve ou Marmaï vont répondre s’ils sont interrogés sur la question. Cela m’intéresse de voir si ça les a fait évoluer, si ça les a fait réfléchir. Je ne m’attends pas non plus à des révolutions, mais je ne serais pas surprise que certains évoluent vraiment sur leur position.
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14 mars 2025 à 13 h 15 min #195153
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésAUDITION DE DOMINIQUE BESNEHARD (producteur, acteur et ancien agent artistique et directeur de casting) :
Début de son audition à 2h08
https://videos.assemblee-nationale.fr/video.16399103_67d2d501d7ef5?timecode=8168350
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Cette réponse a été modifiée le il y a 1 mois et 1 semaine par
Stéphan GUILLEMET.
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14 mars 2025 à 8 h 15 min #195131
Stéphan GUILLEMET
Maître des clésC’est corrigé…
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